Une marche très sympathique qui nous fait passer par les bois et les étangs, avec de somptueux paysages sur les champs et les montagnes. Il faisait beau, mais il avait bien plu les jours précédents et quelques chemins en portaient les stigmates.
L’horaire d’hiver nous a aussi bien montré les limites de l’exercice, le jour s’éteint très vite et les marches ne doivent ni être trop longues ni se situer trop loin, sous peine de finir à la frontale. Et pourquoi pas d’ailleurs ?
Ce soir-là, c’était aussi le repas des bénévoles et nous étions 95 réunis par les chaînes de l’amitié dans une galère bien trop bruyante à mon gout (un tel bruit continu peut devenir douleur). Heureusement, non pas à l’heure de l’effort et des rames, mais à celui de la récompense et du brouet.
Des images, comme d’hab en cliquant sur la photo…